P : Pourquoi j’ai décidé d’être maman solo à 100% ?

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Je ne voyais pas ma vie sans enfant. Les échecs amoureux, l’âge qui tourne et le profond désir de maternité ont eu raison de moi.

Seulement on ne se rend pas compte de ce qui nous attend réellement. Que l’on soit séparé et que l’on ait la charge totale de l’enfant, que ce soit par la pma, ou bien encore un accident de la vie, on se retrouve face à la réalité du quotidien.

Tout repose sur nos épaules, on se sent vite désemparé, démuni face à l’éducation d’un petit être humain qui ne fonctionne pas comme nous (ce ne sont pas des minis adultes !).

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On ne sait pas vers qui se tourner, on est tout seul et il faut tout gérer. On se demande bien comment on va faire pour ne pas sombrer totalement dans cette parentalité rêvée qui va durer quelques années encore.

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A : La charge mentale est épuisante, sans compter la culpabilité de ne pas avoir assez de temps pour son enfant, la peur du jugement, l’isolement, jalouser secrètement les familles soit disant parfaites, la peur de ne pas être un bon parent … cela peut amener au burn out, le risque est de s’oublier, de se perdre, ne pas se reconnaître, en venir à se détester au risque de devenir maltraitant, de regretter cette vie qui ne nous ressemble pas.

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Mon histoire en quelques mots 

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S : C’est à l’âge de 38 ans que je me suis lancée dans un parcours pma solo. Parcours du combattant à gérer seule, grossesse, premiers mois seule et le reste. Je le savais mais le réel est venu me bousculer lorsque les moments difficiles sont apparus et que je n’avais personne pour me prendre dans ses bras, me rassurer.

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J’ai cherché de l’aide sur les réseaux, mais rien ne me convenait. Je n’ai pas trouvé d’oreille attentive, ni de groupe qui comprenait ma situation et m’aidait à assumer mon nouveau rôle.

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Alors comment je survis ?

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T : C’est grâce à mon expérience d’infirmière et d’hypnothérapeute que j’ai appris comment l’enfant se développe, comment me faire confiance en tant que mère, comment relativiser, s’autoriser à ne pas être parfaite et vouloir tout contrôler. 

Je choisis comment je souhaite éduquer mon enfant, ce que je souhaite lui transmettre comme valeurs, c’est moi son seul parent, son repère, je ne suis pas infaillible et j’assume complètement.

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Comment je fais ?

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Il y a bien sûr des galères, pour y faire face je prends du temps pour moi, pour ce que j’aime faire, je demande de l’aide et sans culpabiliser même si ce n'est pas toujours évident au quotidien.

Cela me permet de garder ma patience, mon amour, ma compréhension, ma disponibilité.

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Ce que je vous propose :

 

O : La raison de la création de Sololitude c'est sortir de l'isolement, se sentir soutenu, accompagné même si parfois c'est difficile. Aujourd'hui c'est beaucoup plus facile d'arriver à faire ce que je veux, c'est pour cela que j'ai décidé de créer un accompagnement conçu pour les parents 100% solos qui vivent cette situation et qui gèrent tout à bout de bras.

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Accompagnement : 

- Apprivoiser la solitude : lieu de ressource, d'inspiration, de réflexion

- Gérer les peurs :  la peur de ne pas être à la hauteur, de mal faire, de ne pas être un bon parent

- Travail sur le passé : les traumatismes et l'éducation reçus ont un impact sur votre parentalité actuelle

- Travail sur les émotions : apprendre à gérer ses propres émotions, ses doutes, questionnements, inquiétudes lorsqu'on prend les décisions seul

- Apprendre à devenir son meilleur ami : découvrir ou re-découvrir le plaisir d'être avec soi, se reconnecter à ses propres besoins.

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Alors pour quoi rejoindre sololitude ?

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R : J'ai surtout créer Sololitude parce qu'on a tous envie d'être sur le chemin d'une vie que l'on mérite, une vie dans laquelle on est épanoui malgré les circonstances dans lesquelles on évolue. J'ai hâte de vous retrouver là bas.

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